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Il y avait peu de lumière dans
la salle polyvalente ou se tenait la
manifestation et, malgré les 400iso, j'ai du opèrer à F:5,6 au 1/30e de
seconde. J'ai renoncé à faire des portraits nécessitant une mise au
point très précise et j'ai plutot testé la portabilité de
l'appareil
et son aptitude en reportage. C'est bon et cet appareil s'utilise
malgré son encombrement comme un reflex argentique de la fin du XXe! La visée redressée et la mise au point lumineuse sur dépoli avec stigmomètre et couronne de microprismes sont ses principaux points forts par rapport au Sputnik à visée inversée et peu lisible. La cellule incorporée est aussi un avantage, mais elle nécessite la présence de 2 batteries qui alimentent aussi l'obturateur. Le Sputnik plus rustique avec un obturateur mécanique n'en a pas besoin pour fonctionner , mais par contre, il faut lui associer un posemètre externe. Ce type d'appareil peut il inciter à refaire en 2025 des images 3D argentiques pour une grande qualité au stéréoscope? Peut être, mais ce genre d'appareil moyen format argentique actuellement est plutot à dédier au studio ou au paysage soigné... (un film 120 ne permet de faire que 6 couples et le développement /Tirage/Montage prend du temps!) |
Daniel NARDIN |