Plan : (1 page web par chapitre ou sous chapitre d'abord)
Intro : La photo a
profondément évolué ces
dernières années avec le passage de
l’argentique au numérique.
De nouvelles
possibilités sont offertes de réaliser des images
de petits sujets. La
« macrophoto » autrefois
considérée comme un genre scientifique
élitiste a beaucoup profité de ces
progrès tout
en voyant son champ
d’action étendu.
Ayant vécu ces évolutions, je voudrais
décrire les possibilités actuelles que
je pratique.
Mais avant, il faut revenir sur le terme de
« macro » dont le sens en
photographie a dérivé.
Chapitre
1 Qu’est
ce que la « macro » ?
-définitions proxi, macro et microphotographie
- la précision de la mise au point:
pieds et statifs
- la profondeur de
champ
- la diffraction et
le compromis
résolution/ profondeur de champ …
- les vibrations: une solution pratique, l'éclair de flash
Chapitre
3 –Quel matériel
utiliser ?
A-
type
de photoscope
compact bridge ou reflex? ou COI?
B- les
différents montages optiques :
1) l'augmentation du tirage
- bagues allonges,
- soufflets,
2) les optiques
complémentaires devant un objectif standart
a) - bonnettes
fortes
cf modèle le plus fort de Raynox, pbme
qualité
b) - accouplement d’objectifs
pbme vignetage souvent, mais utile parfois.
c) - usage d’optiques de microscope
« à
l’infini »:
le développement de ce type d'optiques en microscopie permet
leur réutilisation comme bonnettes très fortes car ce
sont des objectifs de courte focale et ils sont prévus pour
travailler avec une "lentille de tube" qui va correspondre à
l'objectif primaire. Je développe seulement en 4b avec les
montages dans leur globalité avec ces optiques.
3) les objectifs
spécialisés à usage à main
levée
- objectif
macro type micro nikkor: le plus pratique jusqu'à 1x
- medical
nikkor un outil dépassé mais encore intéressant dans certains cas.
- MPE65
(et
Minolta 1-3x) le meilleur actuel pour 1à5x
4)
les
bancs macro
C'est
l'association d'un objectif et
d'un capteur sur un rail avec un dispositif faisant varier le
grandissement par le tirage ou autre.
a) classiques
avec augmentation de tirage
ce
peut être un simple montage avec soufflet, mais les firmes
ont
commercialisé dans la 2e moitié du XXe
siècle des dispositifs
plus sophistiqués
et des optiques
spécialisées dans les forts rapports macro sur
soufflet.
b) basés sur des
optiques de microscope "à l'infini"
intérèt
des optiques Mitutoyo
5) les matériels
existants coté microscopie !
- macroscopes: Wild M420,
- microscopes
épiscopiques (métallographiques)
- et
stéréomicroscopes
avec sortie photo
Chapitre
4- Quelles
techniques pour repousser les limites avec le
numérique ?
1) le focus stacking
(= zedification)
2) la macro à haute résolution grace à des panoramas mosaiques au microscope
3) la
macro
« 3D »
Chapitre
5
quelques exemples de sujets, conseils de prise de vue
A- faible G encore possible sur le terrain et sans
stacking
détails de fleurs, petits insectes ou araignées
immobiles
B- forts G obligatoirement sur statif
et en labo,
pratiquement avec stacking
microminéraux
tète d’insecte, yeux composés ,
écailles de papillon
pollen sur stigmate
détails de bryophytes
microchampignons, myxomycètes
…
Conclusion :
forte évolution avec numérique, nouvelles
techniques, problème respect de la
réalité dans les images ? en fait, seule
une connaissance des techniques
employées permet de bien
« lire » avec assez de recul des
images.
D’où le problème des images MEB
colorisées présentées au grand
public…